Étude de cas

Depuis nos tous débuts à la fin des années 90, nous avons développés notre modèle d’affaires en mettant de l’emphase sur la qualité des rapports que nous produisons et le service que nous offrons à nos clients.

Et lorsque nous entendons les histoires relatant les services offerts par la compétition, nous sommes convaincus que notre approche répond adéquatement aux attentes de nos clients. Voici quelques unes des situations auxquelles nos clients ne seront jamais confrontés :

Sébastien, un de nos spécialiste au département des enquêtes, a occupé un poste important au niveau de la sécurité et de la prévention des pertes auprès d’une grande chaine de commerce au détail d’Amérique du Nord et son nom est donné à titre de référence par plusieurs de ses anciens employés.

De retour après deux semaines de vacances Sébastien s’aperçoit que trois personnes différentes d’une entreprise nationale en vérifications préemploi lui ont laissé des messages pour obtenir une référence sur un ancien de ses employés.

Lorsqu’il tente de rejoindre la dernière personne qui lui a laissé un message, il apprend que cette dernière n’est plus à l’emploi de l’entreprise en question. Il se fait cependant dire que ce n’est pas très grave parce qu’il n’y a aucun agent attitré spécifiquement aux dossiers. L’entreprise utilise un système de gestion des appels identique à celui utilisé par les entreprises de service à la clientèle qui assigne le prochain appel au premier agent disponible. Ce système qui permet de réduire les coûts d’opération du fournisseur est couteux pour vous.

L’impossibilité pour l’agent d’identifier correctement les petits détails permet au mauvais candidats à passer facilement sous les radars du fournisseur ce qui engendre des coûts additionnels pour vous.

Un de nos anciens employés est actuellement dans un processus d’embauche auprès d’un ministère associé à la défense du gouvernement fédéral.

L’appel est effectué par un agent d’une entreprise nationale de vérifications préemploi. L’agent en question nous pose une série de questions lues. L’agent qui est incapable de s’exprimer en français a beaucoup de difficulté à s’exprimer en anglais. Nous réussissons tant bien que mal à répondre à ses questions. Heureusement pour nous les réponses recherchées par l’agent sont “oui ou non”.

Malheureusement pour l’employeur potentiel, la qualité de rapport sera assurément limité.

Dans ce dossier précis nous avons communiqué avec le Ministère en question pour les aviser de la situation problématique. Le ministère est depuis client chez nous.